
Cet ouvrage entend être une contribution à la compréhension des changements psychologiques, sociologiques et anthropologiques dans l’histoire d’une maladie. Pendant les quinze premières années de l’épidémie, la majorité des patients atteints du sida ont été confrontés à une issue fatale liée à l’absence de traitements capables de contrer les effets de ce syndrome, et ce malgré la mise sur le marché, dès 1987, du premier nucléoside, l’AZT (zidovudine) et de plusieurs autres médicaments du même type – didanosine (DDI), zalcitabine (DDC), lamivudine (3TC) et stavudine (D4T) – apparus au cours des années suivantes..
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